Création d'un monde
depuis l'expansion originelle
Elles sont, entre les branches de la grande étoile,
sur un fond dentelé qui se colore du rouge à l’orange.
Au centre de la Fleur Première, le Point d’Eau traditionnel.
Cette fleur se trouve comme un œil
au centre des quatre formes oblongues entrelacées,
aux couleurs de quatre éléments.
Elles figurent le cœur du noyau atomique
qui éclate dans l’énergie de l’étoile
aux huit longues branches jaunes, doubles à l’intérieur.
Viennent ensuite le soleil et la lune,
puis les six planètes principales,
avec leurs symboles traditionnels,
sur des constellations à fond jaune.
Quatre autres planètes,
dont deux restent encore à découvrir,
figurent en plus petit dans les quatre directions.
Elles sont sur fond d’argent en forme de peau de bête
étirée à huit pointes,
soulignant le côté chamanique du mandala.
Dans chaque angle en pointe figure un animal totémique,
avec sa couleur, mais relié aux planètes par deux éclairs de feu.
En bas, à gauche le dragon-vouivre de feu
et à droite, le pélican qui ouvre sa poitrine
pour nourrir ses enfants,
sur fond couleur terre.
En haut, la huppe sur la gauche ;
sur la droite, la tête d’un renard.
Mandala de l’énergie de Diane
Au centre, deux triskèles celtes,
l’un rouge et l’autre jaune,
tournent en sens contraires.
Entre eux, six fleurs de lys sur fond noir
bordé d’ondes colorées.
Six groupes de trois croissants de lune entrelacés illustrent l’énergie de Diane.
Chaque fois les trois lunes entrelacées
sont d’or, d’argent et de cuivre.
Un amphisbène ondule tout autour.
Dans ses replis, des lotus roses d’Egypte.
Aux quatre angles arrondis, des figures emblématiques.
En haut, à gauche, une tête de cerf ;
à droite, la buse royale.
En bas, à gauche, le temple de Naga,
au Soudan, avec, sortant du lotus,
le serpent à tête de bélier et, à côté, un menhir.
A droite une sphinge hiératique,
vision que j’ai eu d’elle un matin d’été
alors que cet emplacement était resté
vide assez longtemps.
Chacune de ces représentations est sur un fond correspondant à l’un des quatre éléments.
Ce mandala est celte par les triskèles, le cerf, le serpent-vouivre illustrant la montée de la Kundalini, et le menhir. Il est royal par les fleurs de lys et la buse ; chamanique par tous les animaux ; africain par cet amphisbène semblable au serpent qui borde le plateau de divination chez les Yorubas ; égyptien par les lotus et la sphinge.
Mandala
de la métamorphose
Commencé de la façon la plus simple
autour du Point d’Eau par des fleurs en rosace
à quatre, cinq, six, huit et douze pétales
aux couleurs chaudes sur fond d’or,
ce mandala déploie, dans les quatre directions,
des roses, situées dans des cœurs
bordés de deux serpents venant boire dans leurs calices.
Puis jaillissent quatre orchidées aux couleurs différentes.
Sur le pourtour, entre les orchidées,
viennent se poser quatre papillons
entre lesquels tournent toutes sortes de coléoptères, charançon, cétoine doré, cicindèle, hanneton, et autres !
Sur les tiges des orchidées deux coccinelles
en haut et deux mantes religieuses en bas.
Le fond est aux trois quarts d’argent,
bordé d’une couronne cuivre.
C’est un autre miroir encore
qui me renvoie cette énergie qui m’habite aussi.
Les sept demeures des Essence
Depuis le trou central,
la Fleur centrale orange déploie son feu
en neuf sépales noirs
et neuf pétales rouge-orange
doublés de noir.
Ce cœur produit subtilement douze pétales jaune-orangé,
douze autres plus longs, doublés de noir.
Le cercle vert bosselé encercle douze graines jaunes
Neuf pointes rouges sont enserrées par un ennéagone
Ce moyeu souple s’entoure d’une couronne à douze pointes
donnant naissance aux Sept Demeures des Essences
sur fond d’argent,
qui dominent la Terre.
« Sept sont les Demeures des Essences… »
« Par la partie Veilleur en toi,
découvre le Septénaire constitutif de ton être… »
« Les sept potentialités se trouvent
lorsque ta carapace est maison abandonnée »
Emmanuel-Yves Mon
La Danse Cosmique
La Couronne aux Douze Pointes,
or et cuivre,
image les douze possibilités de l’Homme
sur cette Terre,
les Douze Forces Cosmiques.
Le Centre, immobile, déploie le Feu de ses Pétales
depuis le Trou Central,
par le Quatre, le Huit et le Seize.
Puis vient le déploiement en spirales
des multiples couleurs
qui tourbillonnent,
à l’intérieur d’un Ennéagone argenté.
Les huit couleurs reviennent quatre fois
dans les torsades colorées.
Le Neuf de l’Ennéagone symbolise
la Création Parfaite.
La couronne à douze pointes se déploie
sur fond argent puis noir.
L’Argent symbolise la réflexion de l’Or Solaire.
La Couronne Noire, rappel du trou central
et des quatre pétales noirs,
représente la Lumière Noire,
la Lumière d’avant la séparation
de la lumière et des ténèbres.
Douze sont les possibilités de l’être humain sur Terre.
Tournoiement d’arcs-en-ciel
Du Point noir jaillissent les neuf pétales
de la fleur centrale.
Neuf rubans arc-en-ciel se déploient souplement,
entourant les graines enfermées
dans une ronde d’arcs-en-ciel.
Des nuages d’arcs-en-ciel dansent autour
sur un fond d’or.
Construit sur le neuf à partir de l’ennéagone central,
se déploie donc un tournoiement de chemins multicolores
qui enserre de petites ocelles.
Elles conduisent ensuite
à de grandes ocelles dansant en tourbillon
autour d’un centre immobile.
Les intervalles argentés cernés de noir
soulignent le déploiement.
Svastika et Sauvastika : L'Energie s’enroulant sur Elle-même
Le regard, en un premier temps,
voit une danse de formes multicolores
qui image la lettre K !
Puis, en s'affinant,
il découvre les rondes de svastika et sauvastika,
tour à tour noirs, argent, or et cuivre,
qui engendrent non pas des K seulement,
dans la danse de leurs colorations,
mais tout autant une graphie proche
du premier authioth de l'alphabet hébreu,
ALEPH.
Ainsi l'Energie, s'enroulant sur Elle-même,
permet le passage du non-manifesté au manifesté
pour créer les Mondes... Le Joyau dans le Lotus
OM MANI PADME HUM
Là, la fleur centrale vibre
et ouvre ses jaunes, roses et rouges par le neuf,
s’épanouit par les verts, les bleus
puis les teintes de terre
qui alternent sur le douze et sur le neuf.
Ce qui crée en profondeur une pyramide
qui peut se voir aussi en relief,
alors qu’autour s’ouvre une corolle rose et rouge.
Les pétales de feu, d’or et de sang
viennent couronner ce joyau.
Du Point central rayonnent les éclairs blancs
qui zèbrent l’espace.
Le rythme des formes, les vibrations des couleurs
illustrent sans le dire que « Tout est nombre »
et que ce Joyau dans le Lotus
est un miroir dans lequel chacun peut se reconnaître[1]
"Le Joyau dans le Lotus"
porte en son Cœur en effet un dynamisme
qui éclate dans les mille feux des pétales.
Il joue sur les vibrations des couleurs
et sur les rythmes des ennéagones et des dodécagones
qu'enserrent les vingt-quatre pétales de feu.
"Ne demande pas s'il vient du
Mont Kumlun ou de Gepa
Le Joyau est en toi.
Sa Lumière efface celle du soleil
et de la lune et rayonne
au-dela des quatre limites de l'Univers.
Ses couleurs sont si intense qu'on ne peut les fixer.
S'il est perdu on plonge dans l'océan de la souffrance.
Si on le possède, on traverse
immédiatement sur l'autre rive..."
Cité dans "Le Grand Vide",
Editions Raphaëlle de Curtis, 2012,
p. 90.
Le Diamant dans le Lotus
Le Diamant bleu aux neuf facettes s’insère
dans une étoile à douze branches
et dans un dodécaèdre,
eux-mêmes en bleus plus soutenus.
Les rayons or deviennent cuivre.
Les verts déploient ensuite le neuf et le douze,
puis les jaunes et les rouges gainés de bleu
pour former le Lotus dont le Cœur est le Diamant.
Les couronnes entourent le Diamant pour le protéger.
La toile de la petite araignée Anansé
Elle est construite sur le dix-huit et le trente-six,
en partant du centre.
Les six extensions de la toile, jusqu’au vert,
sont peintes en pointillés.
Les rayons blancs continuent
jusqu’à la périphérie du cercle noir
et donnent des fils toujours blancs
qui tissent seize pointes en s’entrecroisant.
Le cuivre vient souligner les couleurs de feu et d’eau
en ajoutant huit autres pointes.
L’harmonie naît des nombres qui sous-tendent les formes et du rayonnement des couleurs de la toile tissée.
(Voir le Conte dans Contes qui coulent de Source. La quintessence du conte Ondes de Formes
(Huile sur toile)
vibrations…
étoiles,
feux d’artifices éclatant dans le ciel bleu
de la petite araignée Anansé
dont la toile en bas à gauche…
lance des semences colorées,
spirales, tourbillons,
jets de lumière
éclatant et s’enroulant
sur eux-mêmes
dans des lumières chaudes…
Le Rayonnement du Regard
de l'Œil dans le Triangle
Au Centre, la Pupille de l'Œil
Dans un triangle équilatéral rouge,
symbole du trinaire, la tri-unité divine.
En s'élargissant, les cercles deviennent ondulations.
Les six colorations qui immanent de cet Œil
contiennent les formes particulières à leurs mondes
et se multiplient quatre fois
pour donner le vingt-quatre.
Leurs expansions ondulent.
Tout est Mouvance et Vibrations,
Rayonnement et Radiance.
Fleur
Autour du Point central,
les ovales sont construits
selon la divine proportion,
inscrits dans des rectangles d’or.
Le mandala est construit sur le 4, le 8 et le 16.
Le cœur de la fleur, fermé sur lui-même,
s’entoure de pétales
qui se chevauchent dans une dissymétrie troublante.
Le regard se perd dans le flou des couleurs
qui s’entrecroisent...
Les pétales naissent des tracés en spirales
qui se déploient dans un sens ou dans l’autre
et s’entrecroisent.
Des plages des couleurs naissent de leurs intersections,
dans une harmonie et un rythme surprenant.
La Fleur sur fond d’or se termine
par les pointes des 8 pétales bleus soulignés d’argent
et par autant de pointes blanches.
Mandala arabo-berbère
Inspiré des entrelacs des mosquées,
il est cependant construit
non sur le neufmais sur le huit.
Du centre partent neuf rayons
qui aboutissent à neuf graines.
Ces rayons s’entrelacent
avec un ennéagone jaune,
et donnent naissance
à neuf triangles noirs bordés de bleu.
Les rayons rouges forment ensuite des ogives
contenant des formes colorées.
Le rythme des formes se double
d’un rythme des couleurs
qui insuffle la vie.
Mandala israëlo-arabe
L’ensemble est à dominante arabo-berbère,
mais le Sceau de Salomon au centre
évoque le peuple juif,
pour la réconciliation
de tous les descendants d’Abraham.
Du Tréfonds de notre Intériorité
naissent intérieur et extérieur.
C’est le Passage du 6 au 9 qui est évoqué.
L’hexagone central bleu foncé
se déploie en étoile à six branches bleu clair.
L’étoile à douze branches indique
les douze possibilités de l’être humain.
De l’ennéagone jaillit l’étoile verte à douze branches,
d'où naît la grande étoile à douze branches.
La rigidité de l’ensemble se corrige
par la souplesse du contour,
avec ses boucles et ses pointes,
qui mettent les douze possibilités de l’être humain
en correspondance avec les douze filières célestes,
ce qui donne le 24.
L’image du centre est mise en évidence
sous le mandala d’ensemble.
Plafond arabo-berbère
La fleur aux trois couleurs,
aux dix-huit pétales bleus au centre
et de couleurs chaudes ensuite
donne ses rayons qui se prolongent
en multiples triangles s’entrecroisant
en formant une corolle aux trente six pointes.
Une savante jonction
s’opère pour que le motif devienne répétitif
par des polygones jaune, rouge et argent.
Horizontalement, apparaissent des Y qui s’entrecroisent,
symbolisant le couple androgyne.
Plafond transformé en Cristaux
Plafond transformé en Gemmes
Plafond transformé en Vitrail
Trransformations obtenues sur Internees R.
L'Etoile Mère
La Mère de toutes les Etoiles
portant en son sein les neuf graines
d’étoiles nouvelles
qui apparaîtront bientôt dans le ciel…
Et les Humains sont des Etoiles : Es-Toi-El !
[1] - Citation célèbre de Pythagore et allusion à deux de mes ouvrages
La Métaphysique des Chiffres : Tous les Chiffres ne disent qu’Unité, (Auto-édition, 1998), 2
ème éd. Les Editions du Cosmogone, 2011, et,
Le Miroir, Symbole des Symboles (Editions Dervy, 1995), 2
ème éd. Les Editions du Cosmogone, 2011.
Voir sur : http://miroirsymboledessymboles.wifeo.com/