Physique et Métaphysique :  

Contes, légendes et poèmes soufis.

Symbolisme des images rencontrées sur les chemins de la Vouivre...


Alexandre en Quête de l’Eau de la Vie
 d’après

Le Roman d’Alexandre de Nezâmi.


 
Nézami.
Gandja. Azerbaïdjan

  
 Dans les temps anciens, Alexandre le Conquérant étendit son Empire sur la Perse ; il voulut alors, pour étendre encore sa puissance, s’initier au Secret des Sages et des Prophètes et partir à la conquête de l’immortalité, là où il entendit dire qu’était sa source, au pays d’Obscurité.
L’Eau de la Vie[1], l’Eau d’Immortalité, c’est le seul but digne d’un humain sur cette Terre ! Qui en fait le but de sa Quête rencontrera le Vieillard, le Sage, le Pîr qui lui dira comme il lui fut dit :
« “Il y a un voile, sous le pôle nord, où se trouve une source pure d’eau limpide, un voile dont le nom est Obscurité : de ce lieu de paix coule l’eau de Vie”.
Accéder à ce lieu n’est pas facile : aux abords, la ténèbre devient de plus en plus épaisse jusqu’à devenir complète une fois que l’on est arrivé. De surcroît, si l’on entre au pays d’Obscurité, il faut aussi pouvoir en sortir.[2] ».
 Peut-être ce Vieillard lui dira-t-il :
« Je la connais la Source d’Eau Vive 
   qui coule et se répand
   Mais c’est de nuit !
   Cette fontaine éternelle est cachée
   Je sais bien où elle est
   Mais c’est de nuit !
    Dans la nuit obscure de cette nuit
   Je la connais bien, par la foi, cette source
   Mais c’est de nuit !
    Son origine, je l’ignore, elle n’en a pas
   Je sais que tout être en tire son origine
   Mais c’est de nuit !
    Je sais qu’il ne peut y avoir de source plus belle
   Que la terre et les cieux vont s’y abreuver
   Mais c’est de nuit !
    Je sais bien que c’est un abîme sans fond
   Et que personne ne peut y passer à gué
   Mais c’est de nuit !
    Sa clarté n’est jamais obscurcie
   Et je sais bien que toute lumière vient d’elle
   Mais c’est de nuit ![3] »
 Quel guide conseiller à ce conquérant de l’impossible ?
Ce ne peut être que Khezr « le “verdoyant”, un être qui fait reverdir l’herbe sous ses pas, et qui, à lui seul, est déjà un gage de vie, de “verdeur”, donc de jeunesse et de régénération[4] » ! Il est en affinité avec le monde le plus subtil, au contraire de ce conquérant, lourd, pétri de matière dense, de terre noire et opaque, qui certes, mais il n’en a pas conscience, est en obscurité.
C’est l’opaque qui a besoin de la substance vivifiante, c’est l’aveugle qui désire la voyance, le malade qui souhaite le médecin, le mort qui aspire à vivre ! Le cœur du conquérant l’exhorte : « Cette coupe de terre, couleur d’obscurité, va la chercher ! Apporte, de ta main, l’eau de vie : par cette eau, rends-moi clairvoyant et, par cette vie, rends-moi plus vivant4 ».
Notre conquérant, accompagné d’une jeune troupe d’élites, guidé par Khezr, part pour cette terre…
C’est la première nuit du second mois solaire où tout reverdit… Nul besoin d’armes ou de provisions pour un tel voyage ! Il convient d’être désencombré de tout…
La pensée surgit de l’obscurité comme le soleil de la nuit, mais le soleil naissant sur cette terre étend un voile bleu qui masque la voie lactée et tous les autres soleils ; eux n’apparaissent qu’en l’obscurité de la nuit profonde, la nuit noire de l’âme. Qui perçoit que le soleil, éclairant la terre, obscurcit le ciel qu’il verrouille de son « cadenas d’or » ?
De même, lorsqu’un homme « établit son séjour dans l’eau de vie, il est bon qu’il mette un voile devant lui. Celui qui est assis près du bassin de l’eau de vie ne peut échapper au voile bleu[5] », au voile sombre, obscur…
Le départ se fit promptement, par grande obscurité, par une nuit noire, la lune ayant disparu dans la queue du dragon.
Mauvais présage !
La perle d’immortalité n’était pas offerte au conquérant par le dragon gardien de ce trésor.
Le conquérant ne sut lire le signe ! Il envoya alors justement Khezr en éclaireur. Le rapide cheval bai qu’Alexandre avait sous lui, avait le courage d’un lion ; il le lui donna. Grâce à celui-ci, Khezr filerait vers la source avec efficacité. « Il lui donna un joyau qui, dans l’abîme, au contact de l’eau, deviendra brillant. Il lui dit : “Pour ce chemin, devant et derrière, tu es éclaireur : il n’y a eu personne avant toi. Seul, de part et d’autre, chevauche à grande allure, ouvre les yeux, sois en éveil, là où l’eau de la vie produira la clarté, car le joyau lumineux ne ment pas. Bois, et quand tu auras bu grâce à ta bonne étoile, fais moi signe afin que je t’en récompense”.
Sur son ordre, Khezr le vert, fièrement, prit la route en avant-garde. Il prit une autre voie que le chemin de l’armée : avec un haut dessein, il ouvrit les yeux de tous côtés.
Ardente fut sa recherche de l’eau dans le lieu caché : toutefois, les lèvres de l’assoiffé ne rencontrèrent pas l’eau.
Quand le joyau brillant s’illumina dans sa main, Khezr regarda en bas et découvrit ce qu’il cherchait : cette source d’argent apparut, semblable à de l’argent qui s’épure depuis l’ombilic de la pierre.
Ce n’était pas une source, non, elle était loin de ce mot : mais si cela l’était, c’était une source de lumière. Comme l’étoile à l’aube…, ainsi était-elle, mais à la première heure de l’aube.
Comme la pleine lune,… ainsi était-elle, mais une lune augmentée.
A cause de son agitation, elle n’était pas en repos, comme le mercure dans la main du vieillard paralysé. Sa forme était si pure que je ne saurais quelle comparaison donner de sa substance. Cette lumière, cet éclat ne viennent pas de n’importe quelle substance : on peut l’appeler feu, c’est-à-dire aussi eau.[6] »
Ah certes ! Les plus beaux joyaux sont de la plus belle eau ! En cette Source l’Eau est le Feu. De trois gouttes de Feu est né l’homme qui se doit d’assumer son eau… Comprenne qui peut ! Il convient de s’arrêter un instant au seuil du mystère…
« Lorsque Khezr fit connaissance avec la source, grâce à elle, ses yeux acquirent la clarté. Il descendit [de cheval], ôta promptement ses vêtements, lava sa tête et son corps dans cette eau pure. Il en but autant qu’il convenait et il devint adéquat à la vie éternelle. De même, il lava sa monture baie et il la combla d’eau ; il mit le vin pur dans l’argent pur. Il s’assit sur sa monture, voyageuse des grands espaces, gardant les yeux sur cet “abreuvoir”. [Il pensa :]
- Quand le roi viendra, par bonheur, il dira : “Voici la source de vie !”
Mais alors qu’il jetait un coup d’œil à la source, celle-ci devint invisible à ses yeux.
Aussitôt, il comprit en sa conscience, que le conquérant resterait “vide” à l’égard de la source. C’est parce que celui-ci en serait privé, non par crainte de sa colère, que Khezr se cacha, comme la source à ses yeux.4 »
Khezr « était déjà “familier” de cette substance par sa propre substance ». Il boit et accède au plan d’immortalité ; il est en similitude avec la source. Comme elle, il est lumière et, comme elle, il a sa demeure dans l’obscurité, dans le secret. Toujours, à peine entrevu, il disparaît, par compassion pour ceux qui ne peuvent voir le Soleil de la Vérité en face. Il ne peut servir de guide à quelqu’un dont la source de Vie ne veut pas encore ! Il ne peut échapper au voile bleu… La connaissance du secret demeurera secrète. Pourtant, il est devenu « “joyau”, dans l’obscurité, joyau lumineux qui attire à lui tout ce qui est en affinité avec sa substance4 ».
Joyau et substance ne font qu’Un ! Mais ne faut-il pas toujours aller plus loin ? Ne vous y trompez pas, il s’agit du Soleil de tous les soleils, celui qui ne fait point d’ombre ! « De la Source ne vient pas l’ombre, mais la lumière ; pourtant la source n’est pas loin de l’ombre. Si la source et l’ombre s’accordaient, comment l’ombre s’accorderait-elle avec la source du soleil ?8 » Il s’agit de la Lumière Noire, celle d’avant la séparation de la Lumière et des ténèbres ! Ecoutez votre Cœur !
Notre soleil nous éclaire-t-il lorsqu’il sort de la nuit qui le régénère ? Il est l’image parfaite du cycle des réincarnements, mais il faut aller encore plus loin, au-delà, toujours au-delà… Au-delà de la substance, au-delà de l’âme de tout ce qui est… Au-delà de l’immortalité… Au-delà,… en voyant qu’il n’y a pas d’au-delà, « pas d’autre ailleurs que Moi demeure infinie[7] » !
A peine entré en possession de sa propre substance, de sa nature première et divine, de son âme lumineuse, à peine remonté à sa source de lumière et redevenu cette source, ne faut-il pas encore mourir à la divinité pour que la Vie soit !
Toi, « cette coupe de terre, couleur d’obscurité, va la chercher ![8] »
Tu seras « ivre d’un vin qui existait bien avant l’invention de la vigne » !
Par l’union au Bien-Aimé, à la Source Originelle, se transmute l’état douloureux en extase. Il verse alors « le vin pur dans l’argent pur ». Tu deviens un joyau de la plus belle eau si tu sais unir l’Eau et le Feu !
Mais attention ! « Si tu ne sais discerner l’ivresse de l’anéantissement, ne te vante pas alors de l’anéantissement.[9] »


[1] Âb-heyvân
[2] Nezâmi, Le Roman d’Alexandre, passages traduits par Claire Kappler. Voir : Claire Kappler et Suzanne Thiolier-Méjean, Alchimies. Occident-Orient ; communication de Claire Kappler : « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », L’Harmattan, 2006, p. 262 et suivantes.
[3] Saint Jean de la Croix, dans Paroles de sagesse chrétienne, Albin Michel, 2000, p. 16.
[4] « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », op. cit.,     p. 263.
[5] Idem, p. 264-265.
[6] Idem, p. 266.
[7] Karuna Platon.
[8] « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », op. cit.,      p. 267.
[9] Farid-od din’ Attar, Le Livre Divin.

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Khezr et Elie

en Quête de l’Eau de la Vie
 
 
 
Cette « Quête de l’Eau de Vie » est aussi contée d’une autre façon tout aussi extraordinaire par les gens de Roum : Khezr partit avec le prophète Elie ; « ils découvrirent une source et s’installèrent sur le bord pour manger le pain et le poisson salé qu’ils portaient dans leur sac.
Un geste maladroit !
Le poisson sec tomba dans l’eau.
L’un des deux - mais lequel ? - descendit dans la source et « quand le poisson fut dans sa main, il était vivant[1] » !
Ils burent alors de cette eau de Vie.
Quelle merveille !
L’eau avait rendu vivant le poisson mort !
Mieux encore, la merveille des merveilles, « le poisson mort avait montré la voie vers la source de vie[2] » qui était là mais qu’ils ne voyaient pas !
 

 
Khezr et Elie à la Source de la Vie.
Miniature persane, école de Hérat, seconde moitié du Xe siècle,
Persian Miniatuez « Painting », Oxford, 1933, pl. LXI.


C’est la Matière la plus anodine qui guide le plus souvent même les plus subtils et les plus clairvoyants. « L’Esprit et la Matière sont une seule et même chose à des degrés de cristallisation différents
[3] ». Tout est vivant, même la matière dite morte ! C’est elle qui est porteuse de lumière ; voilà pourquoi il est constamment rappelé d’assumer la Matière, d’incarner et non pas de s’évader dans un spirituel désincarné.
La matière d’apparence la plus vile est témoignage de la vie re-suscitée.
La Vie n’est pas faite pour la mort, mais pour la Vie…
 
Quant à Alexandre, il disparaît « comme la lune dans la queue du dragon[4] » !
Il part pour le pays de l’obscurité, de l’opacité, il plonge dans le noir absolu, s’engloutit dans le dragon pour y chercher la perle d’immortalité, la substance de la Vie, la pierre philosophale dont il est dit qu’elle est « blanche, blancheur non Matière, blancheur non couleur[5] ».
Durant quarante jours[6], il « persévère dans la douleur et la difficulté[7] », mais il semble inapte aux « vastitudes de la conscience » et « dépense sa vie » sans succès avant de faire retour au pays de Roum.
 
 
 
 
 
Les énigmes posées par l’Ange
 
et la pierre du Paradis
 
 
 
Alors, « sur le chemin, un ange surgit devant lui et lui caressa la main. L’ange lui dit :
- “Tu as pris le monde entier d’un seul coup, et tu n’es pas rassasié de passions crues !”16 »  Cet ange lui remet une pierre minuscule en lui disant :
- « Efforce-toi de tirer de cette demeure de pierre une pierre de même poids que celle-ci. En vérité, tant de passions t’agitent que tu te rassasieras tout juste d’une pierre comme celle-ci ! »
Et il ajoute :
- « Garde cette pierre et tiens la pour précieuse[8] », c’est la pierre du paradis ! 
 
Quel est le sens de l’énigme posée à Alexandre par l’Ange ? Celui-ci, accompagnant la petite troupe sur le chemin du retour, dit aussi à chacun des membres de l’escorte du grand conquérant de ramasser du sable sur le chemin en leur posant cette énigme :
- « Quiconque en prend s’en repentira ; et celui qui n’en prend pas aura à se repentir plus encore17 » !
Certains en ramassent peu, d’autres beaucoup et, oh surprise ! arrivés à la lumière, les grains de sable se révèlent être des pierres précieuses, « des rubis rouges[9] » ! Tous sont insatisfaits et furieux, regrettant de ne pas en avoir ramassé plus[10] ! Comprirent-ils ce que l’Ange avait dit ?
 
A Alexandre, l’Ange n’a donné qu’une petite pierre, en rien précieuse, en forme d’œil ! Il lui a dit de la peser et de trouver une pierre de même poids ; mais lorsqu’il la place sur la balance, aucun poids n’est assez lourd pour l’équilibrer.
« Sur l’un des plateaux de la balance, il plaça la pierre, sur l’autre le poids d’or. Mais l’œil était plus lourd, et Alexandre eut beau rajouter sans cesse de nouveaux poids, la pierre pesait davantage. Bientôt le plateau fut rempli de métal précieux et Alexandre fit apporter une balance plus grande. Il mit en contrepoids avec la pierre du paradis non seulement de l’or, mais de l’argent, des pierres précieuses, tandis que les serviteurs apportaient toujours de nouveaux coffres emplis de nouveaux trésors.
- Tout ceci est peine perdue dit [l’ange]. Même si la balance pouvait supporter tous tes palais et la richesse que tu as amassée dans le monde, la pierre du paradis continuerait à peser plus lourd[11]. »
- « L’œil que tu as reçu du paradis est l’œil de l’homme de chair insatiable, toujours avide de nouvelles richesses et perpétuellement insatisfait.21 »
« L’homme pèse si lourd par ses désirs que rien ne peut en donner la mesure, alors qu’il n’est que poussière.21 »
L’ange lui dit alors de recouvrir la pierre de sable et de mettre dans l’autre plateau de la balance une simple poignée de terre, la juste “mesure” de cette pierre. Miracle ! L’équilibre s’établit. « La poignée de terre, c’est l’homme lui-même[12] ! « il suffit que l’homme meure et soit mis en terre pour que s’évanouisse tout désir de richesse[13] », c’est pourquoi il a toujours été dit de « mourir avant que de mourir[14] ».
 
Ainsi « Alexandre qui cherchait l’eau de vie ne l’a pas trouvée ; l’eau de vie est parvenue à Khezr qui ne la cherchait pas. Alexandre se hâte vers l’obscurité ; Khezr trouve auprès de l’eau la voie de la lumière ». A l’homme sans désir est octroyée connaissance et clarté dans l’obscurité ; à l’homme de désir, ignorance et aveuglement dans la lumière, cette lumière du soleil terrestre qu’Alexandre retrouve après quarante jours. A quoi bon courir après ce qui n’est pas ton lot ? « Toi, demeures, car le lot apparaît de lui-même[15] ». De cette quête, Alexandre se réjouit : « s’il ne trouva pas la vie éternelle, au moins, dans cette quête de la Vie, ne trouva-t-il pas la mort » !
 
 
Mais Toi, trouveras-tu la Vie ?
 
Traverseras-tu les ténèbres pour trouver la Lumière de l’Eau de Vie ?
 
La Nuit, en arabe, se dit Leyl !
Elle est noire, cette Nuit comme la chevelure de Leyli…
Ou bien est-ce la chevelure de Leyli qui est obscure comme elle ?
 
Fou que Tu Es, sauras-Tu être Fou d’Amour ?
Fou de Leyli ?
Fou de Dieu transformant « les Chemins de la Vie en connaissance de l’Eternité » « pour combler la terre de l’Essence même de la Divinité qui est Amour[16] », Amour, Amour…
 
 

 

[1] « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », op. cit.,     p. 268.
[2] Idem, p. 269.
[3] Emmanuel-Yves Monin, Le Manuscrit des Paroles du Druide sans nom et sans visage, Ed. Y. Monin.
[4] Nezâmi, cité p. 267.
[5] Karuna, L’Instruction du Verseur d’Eau.
[6] Un quarante symbolique. Selon la Kabale des Kabales, dans 40 (Mem), le 4 tient enfermé le 10 (Yod) qui est la vie créatrice réalisée. « « L’absorption du Yod par l’action de la pensée est un aspect de l’inertie, et la force de l’inertie est un aspect de la présence omniprésente du 2 : c’est le 4. » (Carlo Suarès, La Kabale des Kabales, Méditation du Taw).
[7] « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », op. cit.,     p. 271.
[8] Idem, p. 272.
[9] Pour Nezâmi, le rubis rouge représente l’œuvre au Rouge.
[10] « Comment Alexandre devint sage », Contes Juifs racontés par Léo Pavlát, Gründ 1988. Les Juifs, jadis nombreux en Perse, ont travesti le roman d’Alexandre en conte et proposent une explication claire de la pesée intrigante et énigmatique de la pierre donnée à Alexandre par l’Ange !
[11] Contes Juifs, op. cit., p. 81.
[12] D’après Nezâmi, Le Roman d’Alexandre, op. cit.
[13] Contes Juifs, op. cit., p. 81.
[14] Hadith du Prophète.
[15] Nezami, cité dans « Métamorphoses alchimiques de la mort en littérature persane classique… », op. cit., p. 273.
[16] Platon le Karuna.
 
 



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